Le moins que l´on puisse dire c´est qu´il était temps! Depuis des années que l´on évoquait le nom de l´écrivain péruvien Mario Vargas Llosa, né à Arequipa en 1936, pour la consécration suprême. C´est maintenant chose faite, vingt ans après le dernier Nobel en langue espagnole, décerné en 1990 au poète et essayiste mexicain Octavio Paz.
Ses romans mémorables-Conversación en la catedral, La ciudad y los perros, La casa verde,La guerra del fin del mundo, La fiesta del chivo et tant d´autres - ont enchanté des milliers de lecteurs de par le monde. Ses essais, ses pièces de théâtre, ses reportages,au même titre que ses romans, ont assis la réputation de celui que l´on peut considérer sans l´ombre d´un doute comme un des meilleurs écrivains contemporains.
Cette nouvelle ne peut que me réjouir et j´attends déjà impatiemment son prochain roman dont la parution chez Alfaguara est prévue pour le 3 novembre.Il s´intitule El sueño del Celta et il est inspiré par la vie du diplomate d´ origine irlandaise Roger Casement(1864-1916) qui a dénoncé les violations des droits des travailleurs exploités au Congo et au Pérou et a fini condamné à mort pour haute trahison.
Ses romans mémorables-Conversación en la catedral, La ciudad y los perros, La casa verde,La guerra del fin del mundo, La fiesta del chivo et tant d´autres - ont enchanté des milliers de lecteurs de par le monde. Ses essais, ses pièces de théâtre, ses reportages,au même titre que ses romans, ont assis la réputation de celui que l´on peut considérer sans l´ombre d´un doute comme un des meilleurs écrivains contemporains.
Cette nouvelle ne peut que me réjouir et j´attends déjà impatiemment son prochain roman dont la parution chez Alfaguara est prévue pour le 3 novembre.Il s´intitule El sueño del Celta et il est inspiré par la vie du diplomate d´ origine irlandaise Roger Casement(1864-1916) qui a dénoncé les violations des droits des travailleurs exploités au Congo et au Pérou et a fini condamné à mort pour haute trahison.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire